Votre coach de vie

Vous

Si vous vous engagez une démarche de coaching avec votre coach de vie et développement personnel, c’est parce que vous êtes confronté à des difficultés et des problèmes personnels et/ou professionnels. Qui vous freinent d’abord dans votre vie quotidienne et qui vous empêchent aussi de ressentir la sérénité, de vous épanouir, de donner du sens, d’utiliser votre potentiel. Ce que vous allez lire maintenant fait-il écho en vous ?

• Apprendre à atteindre vos objectifs
• Réussir vos projets et vos challenges
• Définir vos valeurs et vos priorités
• Gérer vos émotions et votre stress
• Développer votre confiance en soi
• Augmenter votre estime de soi
• Développer votre autonomie
• Vous connecter à vos ressources
• Acquérir de nouvelles aptitudes
• Renforcer votre motivation et votre créativité
• Augmenter votre enthousiasme
• Communiquer mieux et autrement
• Prendre spontanément la parole en public
• Vivre des relations harmonieuses
• Vous affirmer davantage et être assertif
• Décider plus facilement et efficacement
• Apprendre à bien respirer et à vous énergiser
• Vous débarrasser de vos blocages
• Maîtriser votre vie et accepter le changement
• Prendre le juste recul face aux situations
• Apprivoiser votre timidité et vos peurs
• Apprendre à dire non sans culpabilisation
• Savoir poser des limites et négocier
• Vous positionner en cas de conflits
• Connaître votre profil de personnalité
• Gérer votre mal être au travail
• Faire face aux manipulateurs
• Gérer votre temps et votre organisation
• Revenir à l’emploi et à la santé au travail
• Vivre le calme et la détente au quotidien
• Vous sentir bien et retrouver le bien-être
• Être en accord avec vous-même
• Vous épanouir et avoir la joie de vivre
• Être bienveillant avec vous-même…

Moi

D’où je viens

Maman où es-tu donc passée ?

J’ai eu une enfance et une adolescence très difficile. Ma mère est partie vivre avec mon futur beau-père quand j’avais 3 ans. Elle est revenue 5 ans plus tard, quand le divorce avec mon père a été prononcé. J’ai vécu dans une grande maison blanche avec ma mère au RDC et avec mes grands-parents maternels à l’étage, jusqu’à mes 18 ans.

J’ai complétement loupé ma scolarité au collège et au lycée à cause du mal être psychologique chronique. J’étais toujours aussi mal dans ma peau à mes 20 ans et dans les années 1980, je touchais vraiment le fond, j’ai franchi la porte du cabinet d’un psychanalyste toulousain, où je suis allé plusieurs fois par semaine pendant un certain temps.

Je surconsomme de la thérapie

Mais, j’ai finalement arrêté la psychanalyse, car je ne me sentais pas hyper bien durant les séances, et j’avais l’impression de tourner en rond, de faire du surplace. Par la suite, j’ai expérimenté pas mal de thérapies différentes : la Gestalt, les Thérapies Comportementales et Cognitives, la thérapie en groupe, l’Hypnose…J’avais l’impression d’être incompris.

Je m’intéresse à la psychologie humaine et au développement des ressources, des potentialités humaines depuis une trentaine d’années. Mon « aventure personnelle » débuta avec la lecture de l’ouvrage de Dan Millman « Le guerrier pacifique », qui m’avait été offert pour mon anniversaire en 1995. Le point de départ de mon « parcours ».

J’ai vécu l’enfer

J’arrête la clope

L’une de mes premières décisions fut d’arrêter de fumer, sans aide. Résultat : je basculai dans l’insomnie, et le matin, avant d’aller travailler, j’allais courir pour me libérer du stress accumulé. J’étais complétement irritable, coléreux, et un rien me mettait carrément en rage. Du coup, j’ai moi-même divorcé, et vécu la difficile séparation de mes 2 enfants.

Je me suis cherché longtemps, sans trouver ma place. J’ai galéré d’un secteur professionnel à un autre : moniteur d’éducation spécialisée, maitre-auxiliaire, et un jour, je suis entré dans le commerce de papeterie. C’est étonnant. J’aimais l’odeur des livres, le toucher des couvertures plastifiées, mais je lisais très peu, écœuré à cause du lycée.

Comme c’est le cas pour beaucoup de personnes, malgré de multiples stages, des démarches thérapeutiques différentes, je ne trouvais toujours pas ma voie, et j’étais en recherche (de quoi ???). J’ai également fait de la relaxation, de la sophrologie, du yoga, du qi gong, mais je n’étais pas sur le bon « chemin » pour moi.

Le travail : pas si cool que ça

Au total, j’ai travaillé une bonne quinzaine d’années dans la papeterie. J’ai bifurqué ensuite vers le travail social, en pensant que ce serait la fin de mes problèmes. En réalité, je ne trouvais pas plus ma voie dans ce domaine-là. C’est ainsi que je me retrouvais un jour en burn-out. Je n’avais rien vu venir, et ce fut la douche froide, plus les médicaments.

Après le burn-out, j’étais bien amoché et cabossé, et j’ai eu un mal de chien à rebondir. Quand vous touchez le fond, c’est plus dur de remonter à la surface. Si bien que j’ai fini par m’adresser à un coach de vie, alors qu’à ce moment-là, je ne connaissais rien de ce métier. Tout ce que je savais, c’est que je ne voulais plus aller chez un psychothérapeute.

Car ma souffrance était bien plus existentielle que pathologique, même si j’ai fait un strike avec les 5 blessures de rejet, d’abandon, d’injustice, de trahison et d’humiliation.

Et le coach de vie que je suis

Je deviens résilient

J’ai décidé de devenir moi-même coach de vie. Je trouvais ce métier génial. C’est ainsi que j’ai pu faire ma résilience, et c’est ce qui m’a donné une belle force de vie et une grande énergie tant psychique que physique. A une certaine époque, j’ai donné d’ailleurs une partie de mon temps libre à l’Association France-Dépression Haute-Normandie.

Depuis le jour où j’ai décidé de faire ce métier, je n’ai jamais regardé en arrière. J’ai étudié, j’ai rencontré de belles personnes, qui venaient d’horizons très différents et qui recherchaient le graal de la légitimité et de la reconnaissance professionnelle. Ayant vécu la souffrance, je me sentais légitime pour accompagner moi aussi des clients.

Je suis accompagnant

J’ai à cœur d’aider les personnes qui sont en recherche de sens, qui se questionnent sur leur rôle dans la société et sur leur identité, et qui veulent se trouver à la bonne place. Mon challenge est de les guider vers une connaissance meilleure d’elles-mêmes et aussi des autres, afin qu’elles puissent s’épanouir, s’affirmer, développer leur plein potentiel.

Ma mission s’adosse à ma vision personnelle et constitue le fondement de mon identité. Je suis un sain facilitateur qui transmet en quelques séances le fruit de 30 années de développement personnel. Je suis serein et je partage ma sérénité bienveillante. J’ai foi dans les personnes, je suis convaincu qu’elles peuvent avoir un impact positif sur le monde.

Ma vision du bonheur

Mon idéal de vie est cette vision que j’ai construite pendant mon parcours de formation à la PNL et que je partage maintenant.

« Les personnes sont en harmonie parfaite. Tout le monde vit bien et a tout ce qu’il veut. On peut changer d’activité si on le veut. L’art fait partie de tous les âges de la vie. Il y a des professeurs de bonheur dans chaque ville ou dans chaque village. Tout le monde est encouragé à apprendre, à se développer et à cultiver le plaisir et l’émotion. La méditation et la relaxation sont enseignées dès les premières années de la vie. Le sport est pratiqué dans les écoles tous les après-midis, de même que la musique et tous les arts, quels qu’ils soient. Le mot travail est remplacé par le mot activité. ».

« Citius, Altius, Fortius » (Plus vite, plus haut, plus fort). ».

Pierre de Coubertin